D’un côté, un tissu d’obédience haussmannienne, de l’autre l’îlot moderne. Aux limites, des situations urbaines peu heureuses, générant pignons aveugles et espaces résiduels. Il s’agit donc de répondre à un programme mais aussi à une situation urbaine chaotique. Le projet s’implante donc «en solitaire», en laissant la perméabilité de l’îlot et les vues des résidences voisines. Il réalise une synthèse urbaine en s’adressant partout à la rue : par des pignons actifs au sud et ouverts au nord, et par un rez-dechaussée vivant en double hauteur. Enfin, la synthèse est aussi architecturale car il retranscrit la rationalité des années 1970 avec la matérialité douce de l’haussmannien. Il en résulte un projet apaisant et calme, une résidence où il va faire bon vivre. Source : Duplantier

Ce programme mixte vient clore le front Est d’un îlot inspiré des bastides girondines, un ensemble orthogonal de constructions de différentes hauteurs autour d’une grande place accueillant un marché ou des temps forts de la vie publique. La Bastide est conçue comme un ensemble cohérent qui permet toutefois de lire la richesse de programmation, les rythmes de façade et les signaux d’entrée singularisant chaque bâtiment. Le coeur est habité par un grand jardin central qu’animent les excroissances (logements atypiques à l’ouest, micro-crèche à l’est). Au niveau du socle, la cohérence entre les logements et le programme tertiaire (bureaux ou école d’enseignement supérieur) est obtenue par la création d’une double hauteur de soubassement et la mise en retrait des façades correspondantes de rez-de- chaussée et de premier étage. Implanté à l’angle de l’îlot, l’immeuble tertiaire assure le retournement du principe général. Source : Hardel Le Bihan

Le FRAC s'installe sur le site du port de Dunkerque, dans une ancienne halle à bateaux. La halle AP2, dans le site du port, est un objet singulier et emblématique. Son volume intérieur est immense, lumineux, son potentiel d'usage exceptionnel. Garder la halle dans son intégralité devient l'idée qui fonde le projet. Pour cela, le projet crée un double de la halle, de même dimension, adossé côté mer et qui contient le programme du FRAC. Le bâtiment neuf se juxtapose délicatement sans rivaliser ni s'effacer. La duplication est la réponse attentionnée envers l'identité de la halle. Source : Lacaton & Vassal

La collection d’Art Contemporain occupe depuis l’année 2000 les locaux de l’hôtel de Caumont, immeuble du XVIIIè-me siècle, propriété de la Ville et aménagé à l’occasion des festivités d’Avignon, capitale européenne de la Culture. Ces travaux ont permis à la collection Lambert de prendre toute sa place dans ces magnifiques hôtels particuliers du XVIIIème siècle classés monuments historiques en plein coeur d’Avignon. Ainsi Avignon s’est dotée d’un des plus importants centre d’art contemporain de France avec toutes les fonctionnalités que l’on attend d’un musée, notamment avec des espaces dimensionnés pour son exposition permanente et ses expositions temporaires. Source : Citadis

Le nouveau Centre international d’art pariétal (Centre international d’art pariétal) de Montignac, en France, accueille les visiteurs dans une expérience éducative immersive des peintures rupestres préhistoriques de Lascaux. Connues par les archéologues sous le nom de «Chapelle Sixtine de la Préhistoire» en raison de leur importance spirituelle et historique, ces peintures vieilles de 20 000 ans comptent parmi les plus beaux exemples connus d’art de la période paléolithique. Source Snøhetta

L’immeuble est implanté dans le 19ème arrondissement de Paris, entre le canal de l’Ourcq et l’emprise de chemin de fer de la petite ceinture, aujourd’hui déclassée. Le quartier est en profonde restructuration avec la construction de nombreux immeubles d’habitation. L'opération comprend un programme mixte de 98 logements étudiants et 30 logements sociaux ainsi qu’une maison d’accueil spécialisée et 3 commerces. Le projet propose des logements très spacieux et fait profiter au maximum les habitants des deux situations offertes : sur rue et sur jardin. Source Lacaton & Vassal

La cité scolaire Georges Brassens est composée de 5 bâtiments (administration/logements, enseignement lycée, enseignement collège, demi-pension/CDI et gymnase) construits dans les années 60 et qui présentent de très fortes dégradations et de nombreuses non-conformités. L’objectif majeur qui sous-tend cette opération est la partition du collège et du lycée par la création de deux établissements scolaires autonomes et indépendants.

Situé aux portes de Paris dans le quartier d’Ivry-Port, Ivry Confluences est l’un des plus grands projets d’aménagement de la région parisienne Ce projet concerne plus de 20 % de la superficie de la ville d’Ivry. Pôle majeur de développement urbain, économique et social, il comporte à la fois la construction de logements, la création de groupes scolaires, de locaux d’activités, de nouvelles voiries ainsi que d’un grand parc à la Confluence.

Au cœur de la ZAC Victor Hugo, cet immeuble résidentiel en terre crue ouvre le champ des possibles, et donne corps à des utopies. Il propose une reconnexion à la terre, source inépuisable de bien-être et de sens. Naturelle et disponible en abondance, la terre crue présente un bilan carbone très faible et est recyclable à l’infini. La capacité de la terre crue à réguler l’hydrothermie des espaces valorise le confort de vie de l’habitat. Source : TOA

Chaque entité programmatique s'organise à la fois autour d'un espace extérieur, couvert ou non: la cour technique pour l'ESAT et le coeur d'ilot pour les logements. Ces espaces permettent de dédensifier la parcelle et participer à l'animation du paysage, en offrant au piéton des vues vers la parcelle ou à travers elle. Le vocabulaire morphologique des entités a été pensé avec l'intention d'échapper à la rigidité des grands ensembles et travailler plutôt sous forme de socles et plots. Ainsi le projet offre des hauteurs variées, des toitures diverses, qui participent au grand paysage, des volumes épannelés et des façades biaisées, afin de multiplier les vues et diminuer les vis et vis. Source: DREAM

L’Arbre Blanc, cette nouvelle tour multi-programmatique (logements, restaurant, galerie d’art, bureaux, bar panoramique, espace partagé), fait l’objet d’un attachement tout particulier aux qualités du « vivre dehors ». L’Arbre Blanc se nourrit d’une identité méditerranéenne mais également d’une culture japonaise : des limites épaisses et poreuses pour vivre dedans et dehors, une confusion entre le salon et le balcon avec des espaces extérieurs d’une rare générosité voués à devenir des lieux de vie à part entière. Cette tour mixte de dix-sept étages, unique dans le panorama Montpelliérain, offre une occasion exceptionnelle de profiter des vues imprenables vers la mer, le Pic Saint-Loup, ainsi que vers la ville et le Lez en contrebas. Source Nicolas Laisne

MEDIACAMPUS préfigure l’enseignement de demain en réunissant dans un même lieu un établissement d’enseignement supérieur (Audencia SciencesCom), un média (Télé Nantes) et des start-up au sein d’un même bâtiment. En complément des fonctionnalités de l’enseignement institutionnel, notre projet propose une perméabilité des espaces et lieux d’échanges entre étudiants, professeurs, professionnels et chercheurs. L’axe majeur conceptuel et architectural du projet repose sur ce “carrefour de la rencontre”. Source Moatti rivière

Le projet que nous proposons pour la rénovation du Musée National de la Marine à Paris se base sur une restitution des espaces et volumes des galeries époque 1937, avec la mise en place des doublages et habillage en coque pour la galerie Davioud notamment. Les espaces d’exposition épurés sont magnifiés dans leur proportion, à la fois exceptionnels dans leur dimension et simples dans leur traitement. L’espace est formé de lumière, de blanc et de bois. Les trois matériaux sont directement issus du site, ils sont transformés et affirmés pour renforcer le caractère à la fois contemporain et contextuel de l’aménagement. Source h2o architectes

L’ESMA ce veux être un bâtiment de grande qualité architecturale à forte visibilité qui a pour but de promouvoir l’énergie créative de la ville de Montpellier. Un projet original et novateur pour investir les nouveaux marchés porteurs que sont le jeu vidéo, le cinéma, l’animation, les effets spéciaux et le design graphique et numérique.

La restructuration du Château doit respecter la marque et ses produits et s’appuyer sur le savoir-faire français et leur solide héritage, tout en plongeant le public dans une expérience de luxe contemporaine et ambitieuse, pour être en phase avec la réalité et les origines uniques de Grand Marnier. Source : RSHP

Intitulé “Site Tour Eiffel”, ce projet international cherche des solutions qui répondent aux critères “découvrir, approcher, visiter” afin de créer un paysage qui exprime la vision de la ville, pour un avenir résilient, inclusif et écologique. De la Place du Trocadéro au Plateau Joffre, la lisibilité de l’ensemble comme un seul et même espace de jardin est confortée.

La Tour Bois le Prêtre est un ensemble d’immeubles de logements de grande hauteur, construit dans les années 60, en bordure du périphérique du nord parisien. Il comprend 96 appartements du niveau 1 au niveau 16. Le projet propose un agrandissement des appartements, notamment des séjours, par la création de nouveaux planchers sur toute la périphérie de la tour, qui permettront d’agrandir les séjours et de créer des jardins d’hiver et des balcons continus, et d’améliorer le confort, la lumière naturelle et les vues dans les appartements, et de réduire significativement la dépense énergétique de chauffage. Source : Lacaton & Vassal

Le projet fait partie du vaste projet de développement du Grand Paris qui comprend au total 51 projets différents qui transformeront la région parisienne dans les années à venir. Les Lumières Pleyel est l’un des plus grands projets de l’initiative du Grand Paris et le projet devrait être achevé entre 2023 et 2028. Le quartier longe le chemin de fer existant et sera stratégiquement placé à côté de la plus grande gare du métro Grand Paris Express, Saint-Denis Pleyel. Les Lumières Pleyel deviendra un carrefour important pour les navetteurs et les résidents, transformera la zone industrielle actuelle et augmentera l’attractivité future de Saint-Denis. Source: Snohetta

La maison du Technopôle « Saint Lô Agglo 21 » est un pôle de développement, une pépinière d’entreprise, un coworking, un lieu de rencontre entre des entreprises qui souhaitent se développer, se diversifier. Lieu original et interpellant, ayant pour objectif de retenir l’attention. Inspirée de la forteresse de Saint- Lô, la proposition de Randja repose sur cette volonté de créer pour cette maison du technopole les conditions d’une intériorité forte, l’édification par mimétisme d’une forteresse contemporaine. Source Randja

La Cathédrale des Sports de Bordeaux Brazza, bâtiment métropolitain de plus de 15 000 m² de surface de plancher met en avant l’ambition du quartier et sa volonté de s’affirmer comme un nouveau lieu dynamique, jeune, familial. Le bâtiment est envisagé comme un assemblage simple de dalles et de poteaux sans façade. Il se fond dans la logique urbaine du quartier en superposant espace extérieurs, comme des places de ville entourées de filets coupe-vent. Source: NP2F

Le bâtiment existant est situé dans un environnement urbain dense, Villa du Clos-de-Malevart, en latéral de l’église Saint-Joseph des Nations. La concession automobile propose actuellement un volume quasi opaque et autonome vis à vis de son environnement. Le projet cherche, par des actions simples, à le raccrocher avec son contexte, à le faire dialoguer avec le tissu urbain environnant. Source: h2o Architectes

Le Triangle Éole-Évangile est une parcelle enclavée au cœur d’infrastructures : les voies de RER et celles de la petite ceinture, et de la rue d’Aubervilliers qui fait le lien entre les quartiers existants et la nouvelle ZAC Macdonald. Le support du projet est un grand jardin occupant toute la parcelle. Un rez-de-chaussée et un rez-de-jardin forment par la topographie deux nouvelles strates : le rez-de-chaussée accueille les espaces de loisirs, de commerce et de restauration. La continuité de ces espaces au cœur du jardin renforce l’animation de l’îlot. Le rez-de-jardin est l’espace commun des résidences, de l’hôtel et des bureaux. Source: TVK

Profitant de la situation de transition entre les pavillons existants et les futures constructions plus denses du quartier, il se déploie dans un grand gradin articulant les deux échelles. Cette configuration en gradin mêle– sans les distinguer – logements intermédiaires et logements collectifs. Un grand espace partagé – en double hauteur – est réservé dans la volumétrie, en balcon sur l’espace public. Il est accessible depuis les communs des logements, mais possède aussi un accès direct depuis le porche d’entrée afin que puissent s’y développer différentes appropriations : par les habitants de l’immeuble, une association, les habitants du quartier… Source Sophie Delhay

Situé sur l’avenue Pierre Mendès France, l’immeuble Elements bénéficie d’un emplacement exceptionnel au cœur du quartier d’affaires de la Zac Paris Rive Gauche.L’immeuble, situé au droit des voies SNCF, développe huit niveaux de bureaux divisibles et deux commerces en rez-de-chaussée. Au cœur de l’îlot, un jardin végétalisé et des terrasses exposées sud-ouest bénéficient d’une vue dégagée au-dessus des voies ferrées. Le projet propose des façades bois, métal et végétales qui contribuent à son insertion harmonieuse dans le paysage urbain du 13ème arrondissement de Paris.

La nouvelle Maison de l’Économie Créative et de la Culture en Aquitaine, MÉCA se situe en bordure de fleuve à proximité du Bordeaux historique et accueille trois entités régionales dédiées aux arts visuels, au livre, au cinéma, à l’audiovisuel et au spectacle vivant le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain), l’ÉCLA (Écrit Cinéma Livre Audiovisuel) et l’OARA (Office Artistique de Région Aquitaine), dans un même bâtiment. Le bâtiment est conçu comme une grande boucle continue qui lie l'espace public à chacune des institutions culturelles. Source FREAKS

Le quartier des Girondins est un des projets d’envergure des prochaines années sur le secteur nord de Gerland. Une offre nouvelle sera proposée au sein d’un site idéalement situé, bénéficiant d’un environnement verdoyant et plaçant la qualité de vie au coeur de ses préoccupations. Ce sont près de 65 000 m2 de bureaux et 2 900 logements (185 738 m² SDP), qui verront le jour d’ici 2027, soit 4 000 nouveaux salariés et 6 500 nouveaux habitants.

Ce projet créera une métamorphose visionnaire du bâtiment principal du grand magasin, en s’appuyant sur la tradition et la modernité. Cette boutique est une institution qui a une place particulière dans la vie et l’identité de la ville de Paris. Cette commande est une formidable opportunité de s’appuyer sur la tradition pour apporter une contribution vivante à l’avenir des Galeries Lafayette et à la vie culturelle parisienne. Source AL_A

Programme mixte sur deux îlots séparés par une voie nouvelle : bureaux, zone logistique (en lien avec le MIN), extension de l’école maternelle, commerces, fitness, parc de stationnement, aménagements paysagers. Le projet Mainjolle se situe à l’extrémité de la rue de la Seiglière, côté place Ferdinand Buisson à Bordeaux, et s’inscrit dans le programme plus global de l’Opération d’Intérêt National Bordeaux de l’Etablissement Public d’Aménagement (EPA) Euratlantique. Source : Chaix & Morel

Programme de logement dans le quartier très dense du stade du Ray. Le parc entrera dans l’îlot sans aucune discontinuité, de plain-pied. Les toitures seront toutes végétalisées, pour recréer ce paysage niçois. Les façades sont végétales pour prolonger le parc en hauteur, avec des plantes grimpantes florifères. Sur rue, l’îlot présente un visage véritablement urbain. Source Maison Edouard Francois

Le bâtiment est incarné par un volume épuré qui intègre le paysage évolutif du quartier. Les bureaux occupent sept étages dans les deux blocs du sud, tandis que le complexe hôtelier situé sur la place publique principale s'étend sur neuf niveaux. Les espaces commerciaux sont répartis le long du rez-de-chaussée. Les étages supérieurs sont enrichis de terrasses reliées à l'hôtel et aux commerces. Pour créer un lien entre la place du Front Populaire et le sud du terrain, deux larges patios nichés sont créés pour accueillir de la verdure. Source KAAN Architecten

Le projet de revitalisation du centre-ville de Bobigny développe une densité habitée importante, adaptée à son accessibilité actuelle et à venir et à la polarité commerciale qu’il constitue. Cette densité se structure au travers de sept îlots dont le socle commercial et l’implantation des émergences permettent d’offrir de grands jardins suspendus. Le quartier, riche d’une grande mixité, développe près de 103 000 m² SDP dont plus de 1 000 logements, une résidence étudiante, près de 14 000 m² de commerces/services, des bureaux et des équipements. Source : TVK

Par ses propriétés biomimétiques, le pôle de recherche initie ainsi un autre mode de bâtir. Il est le résultat de la mise en commun de connaissances et d’expériences de personnes engagées dans les problématiques environnementales, dont l’ambition est d’aboutir à une certaine sagesse constructive. En ce qu’il promeut un avenir socialement équitable, culturellement riche et économiquement réparateur, il rejoint les objectifs rigoureux du Living Building Challenge. Source : Arotcharen architecte

Le “Campus Sisley” sera un lieu de vie, d’attractivité, un campus nouveau, le campus productif de demain. Pour ce campus, il fallait avoir une approche nouvelle, contextuelle et innovante. Nous avons choisi une architecture où les intérieurs et les extérieurs sont liés et connectés, un entrelacement de paysages et de surfaces qui créent un lieu de vie et d’usage unique mettant en valeur le coeur du projet. Ce projet fait écho à des formes naturelles et harmonieuses, évoque et convoque le biotope local, superpose des paysages, imprègne l’horizon, marque le lieu et augmente les milieux et leur biodiversité.

Le résultat est un projet volontairement simple qui fonctionne plus comme un quartier urbain qu'un seul bâtiment : un dispositif avec du potentiel, une infrastructure activant un large éventail de possibilités pour divers futurs utilisateurs. L'architecture du projet est basique mais offre un fort impact physique : une architecture faisant référence au contexte du bunker et de l'eau, non seulement à admirer, mais surtout à utiliser intensément dans le cadre de la vie quotidienne. Source: 51N4E

10 ans après sa réouverture, le Palais de Tokyo se déploye sur l’ensemble des espaces des 4 niveaux, en poursuivant l’esprit du site de création contemporaine. Cette nouvelle étape a permis d’utiliser dans sa totalité, la hauteur, la richesse et la complémentarité des espaces et de la volumétrie. Le «quartier d’art contemporain» est un lieu d’offres multiples. Très ouvert aux publics, ouvert sur le quartier, il accueille des expositions, évènements, films, musique, mode... La dimension publique de cet équipement dédié à l’art contemporain est primordiale. Source : Lacaton & Vassal Architectes

Cette opération porte sur la rénovation partielle du Musée d’Art Moderne et a pour objectif l’amélioration des espaces d’accueil, de restauration et de vente et l’amélioration des espaces de travail du personnel, ainsi que l’amélioration des conditions de conservation et d’accueil des œuvres dans les zones d’expositions temporaires. Le musée accueille à la fois une collection permanente, des expositions temporaires et est un lieu de création. Il est à la fois un centre d’art vivant et constamment renouvelé tout en intégrant la compétence d’un musée. Source: H2O

La question du redéploiement du Centre National des Arts du Cirque sur le site des anciens entrepôts de la Marnaise relaie des enjeux vastes d’image et d’ambition de la ville, mais aussi de label d’une école internationale du cirque. Le redéploiement doit assembler la réhabilitation de deux hangars et la création de nouveaux bâtiments pour former un front uni face à l’autopont qui traverse le site. Une porte de dix mètres de hauteur s’ouvre sur la salle “Grand Volant” tandis qu’un escalier sort du volume bardé d’Eternit pour s’élancer vers la route avant de rentrer dans cette ville intérieure. Source NP2F

Le projet se situe sur la parcelle de l’actuel Supermarché Auchan Bordeaux Counord, situé le long de l’Avenue Emile Counord à Bordeaux. Le projet consiste la construction d’un ensemble immobilier comprenant un supermarché en RDC, un parking enterré sur deux niveaux de sous-sol, de bâtiments de bureaux, puis dans une seconde tranche la construction de bâtiments de logements et de commerces.

Ces espaces communs ont été imaginés sous la forme d’un parcours, qui accompagne les habitants et leur permet de se rencontrer depuis le sous-sol jusqu’au toit. Il leur offre des lieux et des programmes qu’ils n’auraient jamais pu s’offrir seuls. En partie basse de ce parcours, au niveau -1, se trouve un grand atelier, permettant aux habitants de bricoler à proximité de leur cave, puis au rez-de-chaussée le local vélo sécurisé accessible depuis le grand hall commun. Au niveau 6, le projet intègre une vaste surface comprenant un solarium orienté plein sud et une cuisine ouverte orientée à l’ouest. Au niveau 7 se trouve un potager de 150 m² avec une vue à 360 degrés.Une étroite relation avec la nature La végétation importante des espaces communs se poursuit dans les espaces privés. Situé sur une parcelle ténue, entourée de bâtiments parfois imposants, les façades sont à la fois très vitrées mais également très végétalisées afin de créer un filtre et masquer les vues directes. Source : Chroniques architecture

Le projet se situe sur la parcelle de l’actuel Supermarché Auchan Bordeaux Counord, situé le long de l’Avenue Emile Counord à Bordeaux. Le projet consiste la construction d’un ensemble immobilier comprenant un supermarché en RDC, un parking enterré sur deux niveaux de sous-sol, de bâtiments de bureaux, puis dans une seconde tranche la construction de bâtiments de logements et de commerces.

En cohérence avec le quartier, la ville et son histoire, l’architecture du complexe sportif de Bordeaux s’attache à développer une présence affirmée par sa forme forte et évidente. Dans ce contexte en mutation aux composantes fortes, le projet cherche à établir les liens avec son environnement. Le site est imprégné d’une identité au passé industriel. Combinée à un patrimoine d’habitations anciennes en pierre, l’identité du lieu tire sa singularité de la variété des typologies et des échelles bâties. Tout en tissant des liens avec le passé industriel, le projet cherche à composer un ensemble cohérent avec le bâti voisin dans une zone urbaine particulièrement hétérogène. La caractéristique la plus représentative du bâti industriel passé est donnée par la toiture en «shed», dont le projet s’inspire formellement. Source : W architectures

L’Institut donnera toute sa place à la transversalité entre les écoles, aux échanges entre les étudiants et une ambition forte d’ouverture vers un territoire d’Euromed en plein renouvellement ; l’IMVT s’ouvrira largement vers la ville pour en recevoir tous les échos. Cet établissement d’un genre nouveau a deux objectifs principaux : l’enseignement et la recherche. Source : NP2F

Le projet s’inscrit dans le cadre de la transformation du site de l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul L’objectif du projet est de créer un ensemble de logements, en accession et locatif social, ainsi qu’un petit potentiel d’espaces d’activités. La surface totale attendue, plus importante que la surface disponible dans le bâtiment existant Lelong, implique la densification du site et donc la création d’extensions. Source : Gaëtan Redelsperger architecture

L’opération située à l’adresse suivante : 3/5 rue Préault – 28/30 rue Botzaris, Paris 19e concerne la construction neuve d’un équipement petite enfance (crèche et accueil de jour) de 99 places inséré dans un ensemble de logements existants et pouvant englober le volume de 4 d’entre eux, dont les vues seront supprimées ainsi que la construction d’un parking de 50 places sous la crèche, celui-ci veillera à conserver le maximum de places de parkings en surface.

L’intention du plan d’urbanisme y est claire – une savante composition entre architecture et paysage. On y sent du local et du contextuel. Le caractère inondable du paysage par les crues de la Garonne voisine n’est pas une illusion, mais une potentialité rare et néanmoins possible. De cette contrainte découleront plusieurs principes : d’abord des pilotis, en front de parc, puis des principes de dessertes d’ilot suspendues et enfin, surtout, un paysage composé de plantes simples, cohérentes avec les berges. Source: Maison Edouard Francois

Ce bâtiment, associé à la future extension du lot C, va participer à constituer l’entrée dans un nouvel espace urbain, celui de la Caserne de Reuilly, redonné à la ville. Malgré l’hétérogénéité du tissu architectural qui compose la rue de Chaligny, on remarque sur l’ensemble des immeubles une caractéristique récurrente de trame structurelle. Le projet répond à ce contexte avec une expression marquée par sa structure, un matériau brut, solide et une teinte rouge qui fait échos aux autres constructions de brique que l’on retrouve rue de Chaligny près du boulevard Diderot. Source: Charles-Henri Tachon

Implanté sur le campus de Saclay, auprès de ses partenaires, Polytechnique et HEC, ENSAE va réunir toutes les entités du GENES à savoir un centre de recherche (CREST), un centre de formation continue (CEPE) et le département économie de l’école polytechnique. De forme carré, il a été conçu autour d’un patio interne végétalisé de façon à laisser entrer la lumière, sa structure permet différents aménagements et de modulation des espaces, pour accueillir à terme 875 étudiants et 340 enseignants chercheurs.

Cette réalisation de logements en accession sociale se distingue par un niveau « énergie-carbone » E3C2, par le choix d'une construction total en ossature bois et en bois massif, hormis les cages d'ascenseur en CLT. Elle se distingue également par une conception environnementale de la maîtrise d'œuvre. sur les sujets de qualité d'air intérieur, confort d’été, limitation des emprises voiries ... Source : A003

Bâtiment entièrement démontable et remontable conçu via un système modulaire en bois 100% français. Celui ci est modulaire et itinérant afin de répondre aux besoins de relogement des enfants parisiens privés de leurs établissements d’accueil habituels en travaux. Inaugurée dans le 6ème arrondissement où elle restera 2 ans, elle sera ensuite implantée dans le 13ème, même cahier des charges. Source: Djuric Tardio architectes

Le projet de transformation de cet immeuble tertiaire de grande hauteur saisit l’occasion d’un désamiantage pour redéfinir ses programmes et usages. La façade du socle est mise à l’échelle du bâti. Elle s’étire en double hauteur à la manière d’un écran protecteur pour le jardin japonais extérieur qui s’insère à l’angle des deux voies. Le rez-de-chaussée a été entièrement repensé. L’entrée s’inscrit dans une logique de séquence fluide, dans le prolongement du parvis, au centre du bâtiment. L’accueil est connecté à une salle de réunion avec vue sur le jardin, et à un salon qui fait la transition entre intérieur et extérieur. Source Hardel Le bihan

Créer un nouveau quartier dans une ville est un exercice délicat. Notre projet s’inscrit dans la ZAC Parc d’affaires, que nous avons élaborée en bonne intelligence entre tous les Architectes, selon une boîte à outil urbaine où les maîtres-mots sont l’intégration urbaine, le morcellement et le changement d’échelle, la pluralité de styles, l’actualité, l’inventivité, la nature et la durabilité. Les cœurs d’îlot seront concentrés en un parc. Les stationnements sont situés en-dessous de l’école, pour accueillir de vrais arbres en pleine terre au cœur de l’îlot. Sur le toit de l’école seront cultivés des fruits et légumes, cette plantation a une vocation pédagogique ainsi que le toit d’un des bâtiments de logements qui accueillera des serres. Source Maison Edouard Francois

La fonction principale d’habitation est maintenue. Les étages courants restent inchangés et les étages en surélévation sont dédiés également à l’habitation. La plus grande transformation programmatique survient donc au rez-de-chaussée et aux étages en sous-sol avec la création d’un club house, le remaniement des niveaux de parking, la redistribution des caves, l’ajout d’un local linge et la relocalisation des locaux techniques. L’augmentation de nombre des logements due à la surélévation exige une augmentation de nombre des places de parking, à cette fin un système de parking automatisé est incorporé au projet.

Chef d’œuvre de l’architecture, classé aux Monuments Historiques, la Maison du Peuple, ouverte sur son quartier, au cœur de la ville de Clichy et vitrine de la créativité des Hauts-de-Seine, la Maison du Peuple accueillera sur 4 200 m2 les Manufactures de chocolat, de glaces et de biscuits Alain Ducasse, un réfectoire, ouvert au public, une résidence de cuisine, un laboratoire international des pratiques culinaires traditionnelles et de demain ainsi que le siège du groupe Ducasse.

Ce nouvel ensemble architectural de 140 logements tente d’inverser le rapport et en structurant spatialement le bâtiment par des vides en particulier par un grand jardin en cœur d’îlot ouvert à tous. Dans ce projet un grand jardin ouvert, des espaces récréatifs, des espaces partagés, des espaces de vie ouverts composent l’ensemble. Il s’agit d’une superposition de milieux différents liés les uns aux autres par un système de circulation verticale. L’objectif est de constituer et de développer la notion de « milieu(x) » de vie à part entière, pour une ville inclusive portant attention aux autres. Source: DVVD.

La bibliothèque des Sciences et de l’Industrie, intégrée au cœur de la Cité des sciences et de l’industrie, est l’une des grandes bibliothèques publiques nationales. La BSI souhaite se transformer en profondeur et devenir un dispositif innovant, capitalisant sur les acquis du numérique plutôt que d’en subir passivement les effets. Cette transformation fondamentale et expérimentale de la bibliothèque portera sur un réaménagement intérieur global au travers de l’architecture, de la scénographie, du mobilier et du numérique.

Réhabiliter 12 000 m² de bureaux est un parti-pris de développement durable. Notre projet rouvre ce bâtiment coupé de son environnement. Au cœur du bâti, un atrium est créé à la place du socle (R+1) démoli. Exposé à la lumière naturelle, il accueille le hall en double hauteur, les accès aux étages et un petit jardin d’ornement. Chaque étage comprend un grand plateau de bureau reconfigurable. Sur la toiture du restaurant du RDC, nous profitons du PLU pour créer une serre agricole de huit niveaux. Source Hardel Le Bihan Architectes

Le bâtiment est moderne avec une facture faisant référence au terrain promis. Le centre du judaïsme, avec toutes ses pièces, est un paysage d’Israël. Tant dans leurs plastiques que dans leurs pouvoirs d’évocation. Le bâtiment alterne entre massivité et convivialité, brillance et transparence, brutalité et raffinement. A l’heure du développement durable, il montre l’économie de moyens tout en favorisant un éclectisme des matériaux. En soignant le spectaculaire sans ostentation, le bâtiment offre une sobriété élégante. Source Stephane Maupin

La réhabilitation du château de Rentilly en centre d’art, en collaboration avec l’artiste Xavier Veilhan et le scénographe Alexis Bertrand, vise à en faire une œuvre à la fois artistique et fonctionnelle mettant en valeur des expositions à destination du grand public. Inscrit dans un site remarquable, il se situe à la frontière d’un jardin vallonné à l’anglaise et d’un jardin à la française, composé de plans successifs agrémentés de miroirs d’eau. Source: Bona-Lemercier

Concentrée sur le strict nécessaire, la reconversion du bâti et la valorisation de ses indéniables qualités révélées lors d’une analyse fine, l’agence avec l’aide de Pierre-Antoine Gatier, architecte en chef des monuments historiques, opte pour la sobriété. Le premier travail, quasi archéologique, consiste à repérer les éléments originaux. Afin d’obtenir un facteur lumière du jour suffisant, l’ensemble des baies maçonnées existantes sont ré-ouvertes. Source Franklin Azzi Architecture

Le projet se constitue par trois éléments: Un rez-de chaussée ouvert, ample, haut et fluide, où l’air, la lumière, le regard, circulent largement. Les espaces dédiés aux fonctions publiques, y sont insérés, avec une faible densité. Des bâtiments aériens, perchés sur pilotis, à 10 m de haut, pour s’échapper du sol et trouver la vue vers le lointain. Ils cernent la périphérie, formant des ilots fermés, pour les espaces de travail et de séjour. Un jardin, composant le sol du projet. C’est un paysage créé, qui occupe tout le terrain. Les espaces bâtis y sont posés légèrement comme des pavillons de verre.

L’opération consiste en la construction d’un bâtiment neuf destiné à accueillir les collections du musée du Louvre, à proximité du musée du Louvre-Lens, il s’agit d’un des grands pôles de conservation en Europe mais aussi telle une nouvelle aile du Louvre, une des composantes structurantes de l’établissement. La conservation des œuvres est l’objectif premier du Pôle de conservation, les constructions et les aménagements sont donc pensés à partir de, et autour des collections, de leurs sensibilités, de leurs mouvements et de leurs études.

Construction d’une école d’enseignement supérieur 183 avenue Jean Lolive à PANTIN capable de recevoir un effectif maximum total de 1500 personnes. L'établissement dispose d’un amphithéâtre, d'une bibliothèque, d'un fablab, d'un espace cafétéria. Le projet s’inscrit dans un contexte de politiques ambitieuses en matière d’urbanisme et d’aménagement durable. A ce titre le bâtiment est construit en structure bois et équipé d'une solution de chauffage par pompe à chaleur géothermique complété par panneaux photovoltaïque.

Le LOT C se caractérise par une architecture rationnelle, voire fonctionnelle, et un dessin épuré des façades, avec une proportion de parties pleines dominantes vis-à-vis des percements. Les nouveaux bâtiments ont été pensés à partir des éléments saillants de la caserne. Un soubassement en béton apparent marque les premiers deux étages, à partir desquels les façades en enduit complètent les nouvelles façades. La répétition des éléments de façade est raffinée par des balcons, qui ne suivent pas une logique prédéfinie. Source: Pavillon d'arsenal

Cet hôtel 5 étoiles a été entièrement conçu par le designer renommé Philippe Starck. Celui-ci définit ce lieu exceptionnel, comme « le rêve moderne d’une Méditerranée fantasmée, entre les voyages d’Ulysse et les céramiques de la Grèce antique. » Respect de la nature oblige, il ajoute que « la création doit investir un environnement sans le bouleverser. » Toujours selon lui, « la conception d’un hôtel ne doit pas s’imposer à la nature, mais plutôt s’y adapter et s’y fondre ». son inspiration lui ayant été dictée par « les jardins suspendus de Babylone, l’architecture des abbayes provençales et le design des villas californiennes. »